J’ai dit non à la guilt-maman (et ça fait un bien fou) !
Es-tu parfois submergée par cette étrange culpabilité de ne pas être la maman parfaite ? Crois-moi, tu n’es pas la seule ! Mais figure-toi que moi aussi, j’ai fini par dire « STOP » à cette pression inutile. Et tu sais quoi ? Ça fait un bien fou ! 😊 Voici comment j’ai décidé de lâcher prise sur cette course à la maternité idéale, et comment tu peux faire de même.
On nous vend souvent l’image de la maman parfaite, avec bébé qui dort toute la nuit dès ses 3 mois, la maison propre et rangée, le tout en jonglant entre le travail, les tâches ménagères et une vie sociale épanouie. Mais le secret, c’est que personne n’est parfait, et c’est OK !
Mon expérience de la guilt-maman
Quand ma fille est née, j’étais convaincue que je devais tout faire pour répondre aux critères de super-maman. Mais les nuits blanches s’accumulaient, et avec elles, cette culpabilité sournoise. Je me souviens d’un matin où j’avais pris du retard pour la déposer à la crèche à cause d’un petit-déjeuner qui avait mal tourné. Mon cœur battait la chamade, et au lieu de prendre une minute pour me calmer, je me suis blâmée toute la matinée. Mais cette journée a été le déclic. J’ai décidé que la guilt-maman, c’en était fini pour moi.
1. Adopter le C.A.S.T.
Acronyme de Cevoir imprévus comme des Aventures pour renforcer votre Sécurité et le Temps avec votre bébé. Pourquoi culpabiliser quand le sable s’échappe de la table de change pour la dixième fois ? Au lieu de cela, voir cet instant comme une opportunité de jouer avec bébé et connecter.
2. Réévaluer les Normes Sociales
J’ai compris que bien souvent, notre sentiment de culpabilité venait des normes sociétales décalées de la réalité. Ce n’est pas parce que ton voisin ou ta belle-sœur semblent gérer leurs vies comme si c’était une partie de Monopoly, que tu dois te sentir moins maman. Comparaison théorique qui n’a aucun sens. Soufflage de bougies à outrance à
3. L’Art de la Lâche-Donc !
Un soir, épuisée, j’ai décidé de laisser la vaisselle. Tu sais quoi ? Mon enfant n’en a pas souffert, et moi non plus. Bien au contraire, j’ai regardé un film avec un sentiment de soula, tout en remarquant combien il est important de prendre soin de moi. Et tu sais quoi ? Moi non plus, je ne manque pas de tasses sales, mais l’ainé pires (et presque oublié) le fesses est devenu indispensable.
4. Le Présent, ton journal avec plaisir
Au lieu de rêver à la perfection, tu peux être plus équilibréeer sur l’instant, appris à me oronnais je meprenné mon temps, en partageant des «Ne te sens pas coupable» au besoin si jamais t’yvisse à faire en une journée.
Je prends un café et profite de chaque rire partagé avec ma fille.
Il faut retenir que : « Maman n’est pas un métier, c’est une aventure humaine. Personne ne te donnera une médaille pour rester impeccable, mais chaque moment partagé avec ton bébé est chi p plus précieux que n’importe quelle perfection. »
Lâ-lâ à toi-même, donne-toi le droit de faire une pause, et surtout, d’être pleinement là. Commence par couper le «mode chef», et partage, dans les commentaires, comment toi aussi tu as dit #StopGuiltMaman.
Maintenant, c’est ton tour de révéler pourquoi t’as dit adieu à la pression de la perfection. Les commentaires sont faits pour ça ✍️